giovedì 16 gennaio 2014

Je voudrais mourir dans tes bras

Canzone dedicata a Jan Palach composta nel 1973 da Adamo che in Belgio ha cambiato repertorio (rispetto al nostrano "Affida una lacrima al vento" del 1968) e ha scritto anche canzoni sociali proprio come questa qui sotto "Je voudrais mourir dans tes bras" oppure come "Quand la liberté s'envole" dedicata alla caduta del muro di Berlino.



Y en a qui meurent bien trop tard
Quand leur paradis est passé
Y en a qui meurent au hasard
D’un coup de dés

Y en a qui meurent sans savoir
Qu’ils ne sont jamais nés vraiment
Y en a qui meurent sans espoir
Et plein d’argent

Je voudrais mourir dans tes bras (bis)

Y en a qui meurent dans les mémoires
C’est bien plus que perdre la vie
Quand ceux qui restent quittent le noir
Et vous oublient …

Y en a qui meurent en marchant
Pour aller cacher leur vieillesse
Aux neiges du grand désert blanc
Pleine de promesse

Je voudrais mourir dans tes bras (bis)

Y en a qui meurent parce que c’est beau
De voir le soleil se coucher
Et d’attendre le jour nouveau
De l’autre côté

Y en a qui meurent en dormant
En offrant un sourire aux anges
Y a en qui meurent encore enfants
Et gagnent au change

Je voudrais mourir dans tes bras (bis)

Y en a qui meurent la bouche pleine
En libérant un dernier rot
En se caressant la bedaine
Mais trop, c’est trop

Tandis que d’autres, le ventre vide
Bercent leur mort à bout de bras
En suivant la main qui les guide
Là où on ne les verra pas

Je voudrais mourir dans tes bras (bis)

Y en a qui meurent par erreur
Pour une poussière sur la balance
Quand la justice a ses rancoeurs
Ou ses absences

Y en a qui meurent dans les poubelles
Les bannis de la société
Leur rêve au bout d’une ficelle
Ballon crevé

Je voudrais mourir dans tes bras (bis)

Y en a qui meurent au printemps
Comme des éclairs, comme des flambeaux
Barrant la route un court instant
Aux chars d’assaut

Y en a qui meurent avec permis
Matriculé comme il se doit
Laissant un casque et un fusil
Sur une croix

Je voudrais mourir dans tes bras (bis)

Y en a qui meurent tous les soirs
Quand le spectacle est terminé
Quand ils retrouvent dans leur miroir
Leur vérité... démaquillée

Y en a qui meurent en marguerites
Effeuillées d’une main distraite
Un peu... beaucoup... beaucoup trop vite
Et ça s’arrête…

Je voudrais mourir dans tes bras (bis)
Prends ma main... ne la lâche pas.

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